Au delà de leurs qualités scolaires et pédagogiques, de nombreux étudiants Clevermate mettent à profit leurs compétences dans des projets qui leur tiennent à coeur. Nous vous proposons ainsi une série de portraits qui leur est dédiée afin de vous faire découvrir leurs projets, leurs engagements et leurs convictions.
Nous sommes allés à la rencontre de Mathilde, une Clevermate engagée, dynamique et convaincue. Elle nous a parlé de son implication dans la vie politique locale, nationale et dans le milieu associatif.
Des convictions dès le plus jeune âge
Mathilde est une jeune étudiante de 22 ans. Elle grandit à Besançon où elle obtient son baccalauréat Scientifique en 2012. Après deux années de classes préparatoires, elle est admise à l’ENSTA ParisTech, une école d’ingénieurs renommée et emménage à Paris. Issue d’une famille fortement politisée, Mathilde a eu envie de passer à l’action et d’agir. Elle s’est donc engagée dans un parti et dans plusieurs associations. Sensible aux problématiques environnementales, elle rejoint à l’âge de 16 ans le mouvement des Jeunes Ecologistes.
Une militante écologiste sur le terrain
En 2012, elle soutient un des candidats aux élections législatives de Besançon. Elle passe des journées entières à distribuer des tracts ou à faire du porte-à-porte pour expliquer, débattre, défendre des points de vue, parfois même convaincre comme elle l’explique : «il est quasiment impossible de retourner quelqu’un qui a déjà un avis, l’enjeu c’était surtout d’encourager les gens à aller voter ». Mathilde rencontre des gens aux profils différents, échange avec eux et prend conscience des difficultés auxquelles ils font face au quotidien. C’est une expérience intéressante, parfois cocasse, «quand on frappe à une porte, on ne sait pas qui va nous répondre de l’autre côté », cela mène parfois à de drôles de situations.
A l’entre deux tours, alors à peine âgée de 18 ans, elle doit prendre la parole et monter à la tribune face à une foule compacte pour défendre ses opinions devant des personnalités locales importantes du parti. «J’étais hyper stressée et je bafouillais » se souvient Mathilde « mais ça restera un des moments les plus marquants de mon expérience en politique ».
Aujourd’hui elle soutient un des candidats à la primaire d’Europe Ecologie les Verts. L’avènement des nouvelles technologies transforme la manière de faire campagne : Mathilde tweete, re-tweete et live-tweete les meetings de son candidat, «les réseaux sociaux constituent un vecteur de diffusion formidable pour partager nos idées avec un maximum de personnes ».
Une militante écologiste sur le terrain
En 2012, elle soutient un des candidats aux élections législatives de Besançon. Elle passe des journées entières à distribuer des tracts ou à faire du porte-à-porte pour expliquer, débattre, défendre des points de vue, parfois même convaincre comme elle l’explique : «il est quasiment impossible de retourner quelqu’un qui a déjà un avis, l’enjeu c’était surtout d’encourager les gens à aller voter ». Mathilde rencontre des gens aux profils différents, échange avec eux et prend conscience des difficultés auxquelles ils font face au quotidien. C’est une expérience intéressante, parfois cocasse, «quand on frappe à une porte, on ne sait pas qui va nous répondre de l’autre côté », cela mène parfois à de drôles de situations.
A l’entre-deux tours, alors à peine âgée de 18 ans, elle doit prendre la parole et monter à la tribune face à une foule compacte pour défendre ses opinions devant des personnalités locales importantes du parti. «J’étais hyper stressée et je bafouillais » se souvient Mathilde « mais ça restera un des moments les plus marquants de mon expérience en politique ».
Aujourd’hui elle soutient un des candidats à la primaire d’Europe Ecologie les Verts. L’avènement des nouvelles technologies transforme la manière de faire campagne : Mathilde tweete, re-tweete et live-tweete les meetings de son candidat, «les réseaux sociaux constituent un vecteur de diffusion formidable pour partager nos idées avec un maximum de personnes ».
Une expérience très enrichissante
Son expérience dans un parti politique lui permet de développer certaines compétences utiles dans la vie professionnelle. Mathilde apprend à préparer des réunions, développer son esprit de synthèse, rédiger des comptes-rendus et des communiqués de presse, argumenter et défendre des points de vue, prendre la parole en public. Elle explique qu’au début il n’est pas si simple de soutenir une idée, de lancer des initiatives, « on a peur de dire une bêtise, on ne se sent pas forcément légitime … et puis avec le temps … on apprend énormément et on gagne en confiance en soi ». Elle fait de belles rencontres, et noue des amitiés avec les autres militants, « on vit des évènements importants ensemble et on crée des liens forts ». Elle a également pu rencontrer les ténors du parti pendant les universités d’été et échanger avec eux, elle en garde d’excellents souvenirs.
Son engagement en faveur de la transition énergétique ne s’arrête pas à la politique puisque Mathilde est également impliquée dans plusieurs associations, Ingénieurs sans frontières ou Alternatiba par exemple. La première envoie des ingénieurs dans les pays en développement pour participer à d’importants projets d’infrastructures. La seconde mène des actions de grande ampleur en faveur de la transition énergétique.
Un engagement renforcée par sa formation
Sa formation d’ingénieur lui apporte beaucoup pour appréhender les problématiques énergétiques et environnementales. Actuellement en stage chez GRDF, elle souhaite se spécialiser l’année prochaine dans le domaine des énergies renouvelables.
Lorsque l’on lui demande si cette implication ne compromet pas ses études, Mathilde, nous affirme qu’elle n’a pas l’intention de renoncer à son engagement militant et conseille à quiconque a envie d’agir de s’engager : « Il faut foncer ! ».
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Wahou quel courage !